Le TDA/H était connu dès le X1X siècle. H.Hoffmann en Allemagne 1845 et Bourneville en France en 1897 ont décrit pour la première fois des cas d’instabilité motrice en premier chez les enfants et ensuite chez les adultes.
Aujourd’hui on ne parle plus du TDA ou du TDAH mais bien du TDAH sans hyperactivité.
Le TDAH est héréditaire : les gènes influent fortement sur le développement de ce trouble.
Il n’y a pas d’examen de laboratoire ( prise de sang) qui permet de faire le diagnostic du TDAH
La Dopamine : joue un rôle important dans la motivation et l’attention ; Si certains la surnomment la « molécule du plaisir », c’est qu’elle est notamment impliquée dans la survenue de cet état agréable procuré par la satisfaction d’un besoin, d’un désir ou par l’accomplissement d’une activité gratifiante.
La noradrénaline, qui joue un rôle important dans le processus d’apprentissage, mais également dans la mémorisation et la notion de prudence. Elle régule les fonctions exécutives, lesquelles englobent la pensée et la capacité de raisonner.
Le manque de Sérotonine fait que la personne devient irritable, impulsif et intolérant. La sérotonine est la molécule du calme et de la sérénité
Elle est respectivement de 5,3 % et 2,8 % chez les garçons et les filles en 2015-2016. En 2015-2016, on dénombre au Québec 240 535 enfants de 1 à 24 ans avec un diagnostic de TDAH. La prévalence à vie s’établit à 11,3 % (figure 2) avec un ratio de deux garçons pour une fille.
La prévalence mondiale chez les enfants est de 5%.
On estime la prévalence du TDAH à l’âge adulte à. 4,4 %.( Le médecin du Québec).
Chez l’enfant entre 0 et 18 ans :
Chez l’adulte :